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Troubles cutanés

Des problèmes intestinaux, produisant un sang impur, conduisent à toutes sortes de maladies de la peau, telles que l’eczéma, l’acné et le psoriasis. Ceci est principalement causé par des calculs biliaires et les effets nuisibles qu’ils ont sur le corps dans son ensemble. Dans sa tentative d’éliminer ce que le côlon, les reins, les poumons, le foie et le système lymphatique sont incapables d’excréter ou de désintoxiquer, la peau devient surchargée de déchets acides. Bien que la peau soit le plus grand organe d’élimination du corps, elle succombe finalement à l’attaque acide. Le matériel toxique est d’abord stocké dans le tissu conjonctif, en-dessous du derme. Quand cette « décharge » est saturée, la peau commence à mal fonctionner.

Les toxines et les protéines putréfiantes des cellules cutanées endommagées ou détruites attirent des microbes et deviennent une source constante d’irritation et d’inflammation de la peau. Si les glandes sébacées, qui déversent leur sécrétion, le sébum, dans les follicules des cheveux, souffrent de malnutrition, le développement des cheveux devient anormal et, en particulier, peut mener à une calvitie. Quand les stocks de mélanine se vident, les cheveux deviennent prématurément gris. Sur la peau, le sébum joue un rôle d’agent bactéricide et fongicide, empêchant une invasion microbienne, le dessèchement de la peau et l’apparition de fissures…

extrait « Etonnant nettoyage du foie, de la vésicule biliaire » Andréas Moritz

Pour aller plus loin : Nettoyage du Foie | Irrigation du Côlon | Nettoyage des Reins

Maladies du Pancréas

Le pancréas, en plus de la sécrétion d’insuline, d’hormones et de glycagon, produit le suc pancréatique contenant des enzymes qui digèrent les hydrates de carbone, les protéines et les graisses. Lorsque le contenu acide de l’estomac se déverse dans le duodénum, ces enzymes se combinent avec le suc pancréatique (alcalin) et la bile (alcalin) pour maintenir l’équilibre acido-basique. La production insuffisante de bile (due aux calculs) entrave le processus digestif, en particulier des lipides. le faible pH duodénal empêche l’action des enzymes pancréatiques et duodénaux, induisant une digestion partielle d’aliments encore saturés d’acide chlorhydrique et engendre des effets irritants et toxiques sur tout le système gastro-intestinal.

Lorsqu’un calcul biliaire se déplace de la vésicule biliaire vers l’ampoule de Vater, le suc gastrique ne peut plus se déverser, refluant la bile dans le pancréas. La bile, bloquée dans le pancréas, commence à digérer le tissu pancréatique, menant à des infections, des suppurations, thromboses locales ou pancréatite. Les calculs biliaires, encombrant l’ampoule pouvant contenir des bactéries, virus et toxines, sont relâchés dans le pancréas, causant plus de dommages, des tumeurs malignes (à la tête du pancréas).

Les calculs biliaires dans le foie, la vésicule biliaire ou ampoule de Vater peuvent aussi être responsables des 2 types de diabètes – insulino-dépendant ou non dépendant.

extrait « Etonnant nettoyage du foie, de la vésicule biliaire » Andréas Moritz

Pour aller plus loin : Nettoyage du Foie | Irrigation du Côlon | Nettoyage des Reins

Psoriasis

Le psoriasis (du grec ψωρίασις « éruption galeuse », psore ayant aussi autrefois désigné la gale en France) est une maladie inflammatoire de la peau d’origine inconnue et non contagieuse.
Cette affection dermatologique touche 1 à 3 % de la population mondiale.

Dans sa forme bénigne et typique, le psoriasis se caractérise par des lésions rouges et squameuses du cuir chevelu, des genoux et des coudes, associée à une atteinte des ongles. Dans les cas graves, l’atteinte cutanée peut être généralisée (érythrodermie) et il peut exister des atteintes des articulations. Cette dermatose évolue de façon chronique avec des poussées entrecoupées de périodes de rémissions de durée variable au cours desquelles les lésions sont minimes. Aucun traitement permettant la guérison n’est connu ; le traitement proposé permet uniquement de contrôler l’évolution de la maladie, en permettant la régression transitoire plus ou moins complète des lésions. Le traitement est adapté en fonction de la gravité et du retentissement sur la qualité de vie des patients.

Causes

La maladie aurait des composantes génétiques, auto-immunes, microbiologique et environnementale ou alimentaire.

L’épiderme se renouvelle trop rapidement, en seulement quatre à six jours, au lieu des trois semaines habituelles ce qui engendre des inflammations localisées. Les cellules épidermiques s’accumulent à la surface de la peau et forment une couche de pellicules blanches appelées squames. Parfaitement inoffensives, celles-ci ont pourtant le désavantage d’être inesthétiques. La présence de nombreux leucocytes dans le derme a suggéré le rôle du système immunitaire.

Comme indiqué précédemment, il existe pour un petit tiers des personnes atteintes une composante familiale au psoriasis (restent à déterminer les autres facteurs entrant en jeu). Un certain nombre de gènes ont été identifiés comme marqueurs potentiels de risque, dont le PSORS. Le plus important semble être le PSORS situé sur le chromosome 6 et qui serait responsable de près du tiers des psoriasis familiaux. Seize gènes (en 20125) ont des mutations pouvant favoriser cette maladie.

Les poussées de psoriasis sont parfois liées au stress. Elles peuvent aussi avoir pour origine un facteur infectieux (infection streptococcique, par exemple). Leur fréquence est très variable et, d’une manière générale, le facteur déclenchant de la poussée n’est pas identifiable. La consommation excessive d’alcool est un facteur d’aggravation du psoriasis.

Certains médicaments exacerbent parfois le psoriasis mais leur arrêt doit être discuté au cas par cas, celui-ci pouvant comporter d’autres risques, cardio-vasculaires en particulier. Ce sont essentiellement ceux de la classe des bêta-bloquants. D’autres molécules ont été rapportées comme potentiellement aggravantes, avec un risque cependant moindre. Ce sont les sartans et l’énalapril.

Au contraire, l’exposition solaire a un rôle protecteur net. Durant la grossesse, une diminution des poussées avec une aggravation par contre à la suite de celle-ci est généralement observée. Le mécanisme invoqué est celui d’une immuno-modulation par les taux élevés de progestérone et d’œstrogènes qui entraînent une stimulation de l’immunité dépendant des lymphocytes B mais une diminution de l’activité immunitaire des lymphocytes T. La progestérone est reconnue comme ayant un rôle immuno-modulateur clé durant la grossesse.

Traitement systémique allopathique

Pour les formes les plus sévères de psoriasis, les médecins peuvent prescrire des traitements par voie orale (comprimé ou gélule) ou par injection. Ces traitements sont appelés systémiques car les médicaments sont censés se disséminer dans tout l’organisme. Ils ont souvent des effets secondaires, parfois sérieux.

Le méthotrexate est un antagoniste d’une vitamine, l’acide folique. S’emploie encore surtout dans l’arthrite psoriasique, peu dans le psoriasis exclusivement cutané. Un rétinoïde, tel l’acitrétine, est un dérivé de synthèse de la vitamine A pouvant être prescrit dans les formes modérées à sévères de psoriasis. Chez la femme en âge de procréer ce traitement est tératogène, non seulement pendant la prise du médicament mais également pendant les deux années (24 mois) qui suivent la dernière prise. Les effets secondaires sont en général mineurs.

Le psoriasis étant considéré proche des maladies auto-immunes, un immunodépresseur comme la ciclosporine peut parfois produire des effets positifs, mais ses effets secondaires sont importants (principalement en raison de l’affaiblissement du système de défense immunitaire). L’hydroxyurée n’est quasi plus employée. L’alefacept, un anticorps dirigé contre des récepteurs de certains lymphocytes T, n’a plus sa place dans le traitement du psoriasis. L’infliximab est un anticorps monoclonal chimérique anti-TNF alpha. Il s’administre en perfusion de 2 heures, aux semaines 0, 2 et 6, puis toutes les 8 semaines.

L’efalizumab est également un anticorps monoclonal dirigé contre un certain type de récepteurs leucocytaires avec une efficacité à court et moyen terme. Il a été retiré du marché début 2009. L’étanercept est un inhibiteur du TNF alpha qui a une bonne efficacité sur l’atteinte cutanée mais aussi articulaire du psoriasis. L’adalimumab est un anti-TNF alpha administré en injection sous-cutanée toutes les 2 semaines à la dose de 40 mg.

D’autres médicaments ou traitements ont été plus ou moins testés : le XP-828L (Dermylex) a prouvé une certaine efficacité pour le psoriasis léger à modéré. De même, plusieurs anticorps monoclonaux, dont l’ustekinumab, ou l’ixekizumab, dirigés contre certains types d’interleukines semble être prometteur, voire plus efficace que l’etanercept.

Entre autres nouveaux traitements, la lécithine marine est en cours d’évaluation et des résultats positifs ont déjà été publiés33,34.

Le 23 septembre 2014, la Food and Drug Administration (FDA) a accordé une autorisation de mise sur le marché à l’aprémilast (Otezla) chez les patients souffrant d’un psoriasis en plaques modéré à sévère candidats à la photothérapie ou à un traitement systémique.

Mécanismes de l’inflammation

Plusieurs substances de l’inflammation, comme le TNF α, IL-1, IL-2, IL-4, IL-5 IL-12, IL-23

Psoriasis / Dermite séborrhéique

Synonymes : Eczéma séborrhéique, dermatite séborrhéique, sébopsoriasis, pellicules, pityriasis capitis, pityriasis stéatoide, fausse teigne amiantacée, maladie de Leiner-Moussous

La dermite séborrhéique est opportuniste et profite des plaques psoriasiques pour s’installer.
La dermite séborrhéique est une dermatose chronique fréquente qui se traduit par des plaques rouges qui pèlent au visage et/ou des pellicules. Le sébum favorise la prolifération de champignons.

La dermite séborrhéique est une affection fréquente qui touche plus d’un million de Français (2% de la population). Le sébum favorise la prolifération de champignons du type Malassezia sp dont le rôle est connu dans la genèse de l’affection. Le stress et les facteurs émotionnels ont un rôle aggravant.
Il existe plusieurs formes de cette affection qui peut toucher le visage et le tronc, le cuir chevelu (pellicules) et l’enfant.

Rôle du sébum et de Malassezia sp.
La cause de la dermite séborrhéique n’est pas connue, on incrimine une levure du nom de Malassezia restricta. Ce champignon saprophyte est normalement présent à l’orifice des poils, il prolifère particulièrement dans les régions séborrhéiques – zones où la peau est grasse, riche en sébum et en glandes sébacées. Le système immunitaire est probablement impliqué dans la genèse de cette affection.

État pelliculaire du cuir chevelu
Les pellicules sont une des formes les plus fréquentes de la dermite séborrhéique. Le pityriasis simplex se traduit par de petites squames à la surface du cuir chevelu qui s’émiettent sur les épaules. Les squames peuvent être plus épaisses et adhérentes, le cuir chevelu est alors rouge et inflammatoire. Les démangeaisons sont fréquentes et soulagées par le shampooing. Les lésions cutanées prédominent souvent à la bordure des cheveux où elles forment une lisière rouge et squameuse.

Les formes sévères peuvent provoquer des croûtes épaisses qui enserrent les cheveux (fausse teigne amiantacée) et forment un casque séborrhéique. Lorsque les squames très grasses recouvrent le cuir chevelu, on parle de pityriasis stéatoide.

Dermite séborrhéique du nouveau-né et du nourrisson
Elle se manifeste par des croûtes jaunâtres du visage et du cuir chevelu (croûtes de lait) chez le petit bébé, celles ci peuvent s’accompagner de plaques croûteuses des fesses et des aisselles. Si les lésions s’étendent, le bébé peut être recouvert d’une éruption rouge et desquamative – c’est l’érythrodermie de Leiner-Moussous. La maladie de Leiner-Moussous régresse en général assez rapidement, mais elle se prolonge parfois par un eczéma atopique ou d’un psoriasis de l’enfant dont elle peut représenter les premiers symptômes.

Traitements allopathiques :
Les principes actifs sont : la pyrithione de zinc, le sulfure de sélénium, l’acide salicylique, la piroctone-olamine, le ciclopirox, l’huile de cade, les antifongiques du type climbazole ou clotrimazole.

Démangeaison de la peau

Le prurit est le terme médical pour caractériser la démangeaison de la peau, qui conduit à se gratter pour apaiser la sensation désagréable. La « grattouille » est due à la stimulation de certains récepteurs nerveux de la peau, par des substances comme l’histamine. Cette libération locale de substances excitatrices n’a pas toujours de cause évidente : un prurit peut exister sans qu’il y ait de lésion dermatologique.

Causes

Lésion cutanée
Le prurit peut accompagner une lésion cutanée. Il « suffit » au patient, ou au médecin, de la reconnaître pour connaître la cause du prurit

Prurit Sensation de démangeaisons cutanées dont les causes peuvent être diverses : maladie de peau, signe d’une affection générale, ou pouvant survenir sans cause identifiable (prurit sine materia).

et la traiter en conséquence. Les situations les plus fréquentes sont l’eczéma atopique, l’urticaire (allergie alimentaire, de contact, médicamenteuse, ou par piqûres d’insectes), infections cutanées par des champignons (dermatophyties), la gale (maladie très contagieuse causée par le sarcopte et favorisée par une mauvaise hygiène), les coups de soleil (lucite estivale), les piqûres d’insectes, ou encore des allergies à certains médicaments (toxidermies médicamenteuses), enfin la varicelle.

Maladies du foie
En l’absence de lésion cutanée, on recherche d’autres causes organiques générales, comme des maladies du foie. La cholestase hépatique (bile bloquée, mal produite ou mal évacuée vers l’intestin) provoque l’accumulation des sels biliaires dans le sang, accumulation qui s’exprime par un prurit et une jaunisse de la peau. L’insuffisance rénale, certains cancers, leucémies ou lymphomes, maladies de la thyroïde ou des glandes parathyroïdes, l’infection par le VIH, ou les infections parasitaires, provoquent aussi des démangeaisons cutanées.

Peau sèche
Si toutes ses causes organiques ont été éliminées, on retiendra une peau sèche (xérose cutanée), particulièrement lors de l’avance en âge : la peau vieillissante (sénile) réagit plus souvent par une démangeaison à toutes sortes d’agression.

Psychologique
Enfin, en dernier recours, on évoque un « prurit psychogène », c’est-à-dire dû à la tension psychologique. Ce qui n’est pas le plus facile à soigner…

Itching is the medical term to describe the itching of the skin, which leads to scratching to soothe the discomfort. The « Scratch’n » is due to the stimulation of certain nerve receptors in the skin, with substances such as histamine. This local release of excitatory substances not always obvious cause: itching can exist without dermatological lesions.

Causes

Skin lesion
Itching may accompany a skin lesion. He « enough » to the patient or physician, to recognize it for the cause of pruritus

Itching sensation of itchy skin, the causes can be diverse: skin disease, indicating a general affection, or can occur without identifiable cause (pruritus sine materia).

and treat it accordingly. The most common situations are atopic eczema, urticaria (food allergy, contact, medication, or insect bites), skin infections by fungi (dermatophytes), scabies (highly contagious disease caused by the mite and favored by poor hygiene), sunburn (summer light eruption), insect bites, or allergies to certain drugs (drug toxidermia) finally chickenpox.

Liver Diseases
In the absence of cutaneous lesions, one research other general organic causes, such as liver disease. Hepatic cholestasis (blocked bile, poorly produced or incorrectly evacuated to the intestine) causes the accumulation of bile salts in the blood accumulation which is expressed by itching and jaundice of the skin. Kidney disease, certain cancers, leukemias or lymphomas, diseases of the thyroid or parathyroid glands, HIV infection, or parasitic infections, also cause skin itching.

Dry skin
If all organic causes have been eliminated, dry skin (cutaneous xerosis) we note, especially when advancing age: aging skin (senile) reacts usually by an itch to all kinds of aggression.

Psychological
Finally, as a last resort, it evokes a « psychogenic pruritus », that is to say, due to the psychological tension. This is not the easiest to treat …

Cancer du pancreas

Oui, on distingue deux principaux types de cancers du pancréas selon le lieu de localisation de la tumeur. Dans la grande majorité des cas (90 à 95%), le cancer touche la partie exocrine du pancréas. On parle alors d’adénocarcinome pancréatique. Surviennent aussi, mais de façon très exceptionnelle, des tumeurs exocrines différentes des adénocarcinomes, très difficiles à différencier.

Risques

Les facteurs de risque du cancer du pancréas sont pour la plupart encore mal connus. On sait que le tabagisme (qui multiplie le risque par deux ou trois) et le diabète peuvent être impliqués dans certaines formes, sans forcément être déterminants. D’autre part, certaines affections, comme la pancréatite chronique*, ou certaines autres tumeurs peuvent jouer un rôle, ainsi que certaines maladies génétiques qui prédisposent au cancer.

Yes, there are two main types of pancreatic cancers by place of location of the tumor. In the vast majority of cases (90-95%), cancer affects the exocrine portion of the pancreas. This is called pancreatic adenocarcinoma. Occur too, but in very exceptional cases, exocrine tumors of various adenocarcinomas, very difficult to differentiate.

risks

Pancreatic cancer risk factors are mostly poorly understood. It is known that smoking (which increases the risk of two or three) and diabetes may be involved in some forms, not necessarily be determinants. On the other hand, some conditions, such as chronic pancreatitis *, or some other tumors may play a role, and certain genetic diseases that predispose to cancer.

Cancer des poumons

Les poumons représentent la majeure partie de l’appareil respiratoire. Ils sont au nombre de deux et sont constitués par un tissu gris-rosé spongieux (de même consistance qu’une éponge). Ils occupent la cage thoracique et sont séparés l’un de l’autre par une région appelée le médiastin : cette région contient le cœur, de grosses artères et veines, la trachée, l’œsophage et des ganglions lymphatiques.

C’est la première cause de mortalité par cancer en France. En 2005, on estime qu’il a été responsable de plus de 26 600 décès. La même année, plus de 30 600 nouveaux cas ont été diagnostiqués en France. 78 % l’ont été chez des hommes mais la fréquence des cancers du poumon augmente chez les femmes de 35 à 45 ans : elle a été multipliée par 4 en 10 ans.

Causes

Les travaux scientifiques ont montré que certains facteurs augmentent les risques de développer la maladie. Le tabac est responsable de plus de 90 % des cancers du poumon et d’autant de décès. Le risque de cancer du poumon chez un non-fumeur exposé continuellement à la fumée des autres (tabagisme passif) est augmenté de 26 %, comme par exemple chez un couple dont l’un des conjoints est non fumeur.

Des facteurs environnementaux comme la pollution atmosphérique, des facteurs de risques professionnels peuvent être impliqués.
Les travailleurs exposés à des substances cancérigènes telles que l’amiante présentent un risque accru de cancer du poumon.

The lungs are the most of the respiratory tract. They are two in number and consist of a spongy gray pinkish tissue (same consistency as a sponge). They occupy the chest area and are separated from one another by a region called the mediastinum: this region includes the heart, veins and large arteries, trachea, esophagus, and lymph nodes.

This is the first cause of cancer mortality in France. In 2005, it is estimated that it was responsible for over 26,600 deaths. The same year, more than 30,600 new cases were diagnosed in France. 78% were in men but the frequency of lung cancer increases among women aged 35-45 years: it has been multiplied by 4 in 10 years.

Causes

Scientific studies have shown that some factors increase the risk of developing the disease. Tobacco is responsible for over 90% of lung cancers and many deaths. The risk of lung cancer among non-smoking continuously exposed to second-hand smoke (passive smoking) is increased by 26%, such as in a couple where one spouse is non smoking.

Environmental factors such as air pollution, occupational risk factors may be involved.
Workers exposed to carcinogens such as asbestos are at increased risk of lung cancer.

Cancer de la prostate

La prostate est une glande génitale masculine de la taille d’une châtaigne située juste au-dessous de la vessie. Elle est traversée par l’urètre, le canal qui permet l’évacuation des urines et du sperme.
De la taille d’une châtaigne, la prostate peut augmenter de volume. On appelle ce phénomène l’hyperplasie bénigne de la prostate (ou HBP).
C’est une cause courante d’apparition de troubles urinaires. Tout symptôme de ce type n’est donc pas systématiquement en rapport avec un cancer de la prostate.

Causes

Certains facteurs semblent augmenter le risque de développer un cancer de la prostate.

Hérédité :
Les formes héréditaires (au moins trois cas chez les apparentés au premier degré) ne représentent que 5 à 10 % des cancers de la prostate. Le risque est clairement plus élevé chez les hommes dont la famille est touchée par le cancer de la prostate.

Comportement alimentaire :
Une consommation excessive de graisses animales, notamment celles des viandes rouges, serait susceptible d’augmenter l’incidence de la maladie.

L’âge avancé :
95 % des cas surviennent après 57 ans. Chez des hommes de 90 ans, on estime qu’il existe 30 % de cancers de la prostate occultes et qui ne seront pas la cause du décès.

The prostate gland is a male genital of the size of a chestnut located just below the bladder. It is crossed by the urethra, the tube that discharges urine and semen.
About the size of a chestnut, the prostate volume may increase. This is called benign prostatic hyperplasia (BPH).
This is a common cause of occurrence of urinary disorders. Any symptoms of this type is not systematically related to prostate cancer.

Causes

Certain factors seem to increase the risk of developing prostate cancer.

Heredity :
Hereditary forms (at least three cases among first-degree relatives) only account for 5-10% of prostate cancers. The risk is clearly higher among men whose families are affected by prostate cancer.

Feeding habits:
Excessive consumption of animal fats, including red meat, would be likely to increase the incidence of the disease.

Advanced age:
95% of cases occur after 57 years. In men 90 years, it is estimated that there are 30% of occult prostate cancer and which will not be the cause of death.

Cancer de la peau

Le cancer de la peau est un cancer en augmentation constante : exposition solaire, utilisation des lampes à bronzer…Sont diagnostiqués en France environ 60 000 cancers de la peau chaque année (une grande majorité étant des carcinomes).

Causes

Le facteur de risque le plus important dans la survenue d’un cancer de la peau est l’exposition excessive et intermittente au soleil avec brûlures solaires.
Le moment où cette exposition devient excessive varie en fonction du phototype et du phénotype de la personne.

Les personnes qui ont une peau claire propice aux coups de soleil, des tâches de rousseur, des yeux clairs et cheveux blonds ou roux ont un risque beaucoup plus important de développer un mélanome que les autres.

La présence sur la peau de nævus en très grand nombre et d’aspect atypique est également un facteur de risque.

The skin cancer is a cancer steadily increasing: sun exposure, use sun lamps … are diagnosed in France around 60 000 skin cancer each year (the vast majority being carcinomas).

Causes

The most important risk factor in the occurrence of skin cancer is excessive and intermittent exposure to sunlight with sunburn.
When this becomes excessive exposure varies depending on skin type and the individual’s phenotype.

People who have fair skin conducive to sunburn, freckles on, light eyes and blond or red hair have a much higher risk of developing melanoma than others.

The presence of nevi on the skin in large numbers and atypical aspect is also a risk factor.

Adhérences péritonéales

Les adhérences péritonéales (ou post-opératoires) sont la complication la plus fréquente de la chirurgie abdominale et surtout gynécologique. Ces cordages fibreux, appelés « brides » par les chirurgiens, se forment à partir du péritoine, trois à cinq jours après l’intervention chirurgicale. Leur apparition se fait de manière imprévisible n’importe où dans le ventre. Formant un obstacle imprévu par la nature, ces adhérences peuvent gêner ou étrangler inopinément les viscères, principalement l’intestin grêle. Tout patient opéré doit être informé de leur possible survenue

Risques

Environ 40 % des occlusions et 70 % des occlusions de l’intestin grêle sont dues à des adhérences péritonéales. Une occlusion négligée met la vie en péril faute d’une intervention médico-chirurgicale rapide. On peut en mourir.
Outre les risques d’occlusions intestinales, les adhérences compliquent le travail du chirurgien lorsqu’il faut réintervenir chez ces patients.
Moins périlleuses mais très pénibles, les adhérences provoquent des gènes et des douleurs abdominales chroniques, en particulier lors des rapports sexuels. Surtout, les adhérences sont la deuxième cause acquise de stérilité-infertilité féminine (39 %), pas facile à traiter ; leur cure chirurgicale (adhésiolyse) ne permet qu’un taux de grossesse de 45 % à deux ans.

The peritoneal adhesions (or post-operative) are the most common complication of abdominal surgery and especially gynecological. These fibrous cords called « brides » by surgeons, are formed from the peritoneum, three to five days after surgery. Their appearance occurs unpredictably anywhere in the belly. Forming an unexpected obstacle by nature, these adhesions can hinder or strangle unexpectedly viscera, primarily the small intestine. Every operated patient must be aware of their possible occurrence.

Risks

About 40% of occlusions and 70% occlusion of the small intestine are due to peritoneal adhesions. A neglected occlusion endangeres life for lack of prompt medical surgery. You might die.
Furthermore the risk of intestinal obstructions, adhesions complicate the work of the surgeon when an operation is necessary once more on these patients.
Less dangerous but very painful, adhesions cause embarrassements and chronic abdominal pains, especially during sexual intercourses. Especially, adhesions are the second cause of female infertility (39%), not easy to deal with; their surgical cure (adhesiolysis) allows only a pregnancy rate of 45% in two years.

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