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Système reproducteur

Troubles des organes reproducteurs

Les calculs biliaires dans le foie réduisent le flux de bile dans les voies biliaires, altère la digestion et déforme la structure des lobules hépatiques, producteurs de sérumalbumine, protéine abondante responsable de la pression osmotique du plasma à son niveau normal de 25mmHg et des taux constants de facteurs de coagulation.

Une pression osmotique insuffisante réduit l’approvisionnement en substances nutritives les cellules, les organes reproducteurs, affaiblit le drainage lymphatique, causant les oedèmes, la rétention d’eau, de déchets métaboliques, de cellules mortes. Cela mène à des troubles graduels des fonctions sexuelles.

La plupart des maladies du système reproducteur résultent d’un mauvais drainage lymphatique, causé par un grand canal thoracique bouché en présence de calculs biliaires dans le foie altérant la digestion et l’absorption correcte de la nourriture.

Un mauvais drainage lymphatique dans le région du bassin chez la femme mène à une immunité réduite, à des problèmes de menstruation, au syndrome pré-menstruel, à des troubles ménopausiques, à la maladie pelvienne inflammatoire (PID), à la cervicité, à toutes sortes de maladies utérines, à une dystrophie vulvaire, à des kystes ovariens et des tumeurs, à la destruction cellulaire, à un manque d’hormones, à une réduction de libido, à la stérilité et à des mutations génétiques cellulaires menant au cancer.

Une obstruction du canal thoracique peut mener à une accumulation de substances nocives, causant des inflammations, des nodules, un blocage de la lactation, des tumeurs cancéreuses au sein droit ou gauche.

Une restriction continue du drainage lymphatique dans la région pelvienne chez l’homme peut causer un agrandissement bénin et malin de la prostate, une inflammation des testicules, du pénis et de l’urètre. Les maladies vénériennes se développent quand il y a un taux de toxicité élevé dans les parties exposées du corps. Une infection microbienne est toujours précédée d’une grave congestion lymphatique. La capacité de plus en plus réduite du système lymphatique (incluant le système immunitaire) à repousser les microorganismes envahisseurs cause des troubles reproducteurs et sexuels.

extrait « Etonnant nettoyage du foie, de la vésicule biliaire » Andréas Moritz

Pour aller plus loin : Nettoyage du Foie | Irrigation du Côlon | Nettoyage des Reins

Cancer du testicule

C’est le cancer le plus fréquent chez le jeune adulte (moins de 45 ans). En 2005, environ 2 000 cas ont été diagnostiqués en France. Diagnostiqué tôt, ce cancer a un très bon pronostic. Le taux de guérison peut atteindre 100%.

Causes

L’ectopie (lorsque la migration des testicules de l’abdomen vers les bourses n’a pas eu lieu) est la première cause de cancer. L’atrophie testiculaire (testicule de très petite taille) est également un facteur favorisant. Ce cancer n’est pas héréditaire.

This is the most common cancer in young adults (under 45). In 2005, about 2,000 cases were diagnosed in France. Diagnosed early, this cancer has a good prognosis. The cure rate can reach 100%.

causes

The ectopia (when the migration of the testicles from the abdomen to the grants did not occur) is the leading cause of cancer. Testicular atrophy (testicles very small) is also a contributory factor. This cancer is not hereditary.

Cancer du sein

Le cancer du sein est une transformation maligne des cellules constituant la glande mammaire. Comme ces cellules sont variées, les cancers ou néoplasies qui en dérivent le sont aussi. Il n’y a donc pas un mais DES cancers du sein. Les seins sont des glandes chargées de produire du lait. Ils se divisent en 15 à 20 lobes, divisés eux-mêmes en nombreux lobules qui s’achèvent en minuscules bulbes sécrétant le lait.

Les lobes, lobules et bulbes sont reliés entre eux par les canaux galactophores. Ceux-ci aboutissent au mamelon, situé au centre d’une zone pigmentée, l’aréole.

Le tissu mammaire se compose surtout de cellules luminales produisant le lait, et de cellules basales myoépithéliales qui l’expulse lors de l’allaitement. La classification des cancers du sein s’est affinée grâce aux analyses de l’ADN cellulaire (analyses génomiques). On distingue désormais le cancer luminal, le cancer basal-like, et le cancer HER2+.

Risques

Cancer féminin le plus fréquent et deuxième cancer dans l’ensemble de la population après celui de la prostate, le cancer du sein est un problème majeur de santé publique. En 2011, 53.000 nouveaux cas de cancer du sein ont été diagnostiqués en France*. On estime que une femme sur 9 développera un cancer du sein au cours de sa vie. Si la maladie touche essentiellement les femmes, elle concerne aussi les hommes : 0,5% des cancers du sein sont masculins.

Entre 1980 et 2005, l’augmentation de 138 % du nombre de ces cancers s’explique en partie par l’allongement de la durée de la vie et les effets du dépistage généralisé. Certaines études évoquent aussi les risques environnementaux ou comportementaux, comme l’âge au premier enfant et certains traitements hormonaux de la ménopause.

Comme dans d’autres pays développés, la progression française s’est stabilisée depuis 2004, l’incidence semble même diminuer (données de l’Assurance Maladie). Même si les changements d’habitudes vis-à-vis des traitements hormonaux sont souvent évoqués, un peu de recul sera nécessaire pour réellement confirmer et comprendre cette diminution.

Breast cancer is a malignant transformation of the cells constituting the mammary gland. As these cells are varied, cancers or neoplasms derived from them are also. So there is not one but DES breast cancer. The breasts are glands responsible for producing milk. They are divided into 15 to 20 lobes, themselves divided into many lobules which end in tiny bulbs secreting milk.
The lobes, lobules, and bulbs are linked by the milk ducts. These lead to the nipple in the center of a pigmented area, the areola.

Breast tissue consists mainly of luminal cells producing milk, and basal myoepithelial cells that expels when breastfeeding. The classification of breast cancers has been refined through analysis of cellular DNA (genomic analysis). We now distinguish luminal cancer, basal-like cancer and HER2 + cancer.

Risks

The most common female cancer and cancer in the second set of the population after the prostate, breast cancer is a major public health problem. In 2011, 53,000 new cases of breast cancer were diagnosed in France *. It is estimated that one woman in nine will develop breast cancer during her life. If the disease mainly affects women, also for men: 0.5% of breast cancers are male.

Between 1980 and 2005, 138% increase in the number of cancers is partly explained by the longer duration of life and the effects of widespread screening. Some studies also suggest environmental or behavioral risks such as age at first child and some hormone treatments for menopause.

As in other developed countries, French growth has stabilized since 2004, the incidence seems even decrease (data from the Health Insurance). While changes vis-à-vis habits hormonal treatments are often mentioned, hindsight will be needed to actually confirm and understand this decline.

Cancer du col de l’utérus

L’utérus est un organe creux, en forme de poire, situé dans la partie inférieure de l’abdomen de la femme, entre la vessie et le rectum. L’embryon s’y développe depuis la fécondation de l’œuf jusqu’à la naissance.

Pendant la grossesse, la taille de l’utérus augmente. Quand la femme n’est pas enceinte, l’utérus est de petite taille (une dizaine de centimètres de long).

La partie inférieure la plus étroite de l’utérus, qui ouvre sur le vagin, est le col ; les tumeurs apparaissant sur cette partie de l’utérus sont appelées cancers du col de l’utérus

Causes

Il peut apparaître dans toutes les tranches d’âge à partir de 25-30 ans. Il n’est pas lié à des facteurs héréditaires, mais à une infection par un virus de la famille des papillomavirus (HPV), sexuellement transmissible.

Le cancer du col de l’utérus, tout comme les autres cancers, n’est pas contagieux. Mais le HPV, lui, l’est. C’est un virus extrêmement répandu, qui peut provoquer des lésions précancéreuses (dites condylomes ou dysplasies), dont la gravité augmente avec le temps et qui, si elles ne sont pas traitées, risquent parfois de dégénérer et de former un cancer.

A l’inverse, les femmes non infectées par le HPV ont un risque nul de développer un cancer du col.

The uterus is a hollow member, pear-shaped, in the lower abdomen of women, between the bladder and the rectum. The embryo develops there from fertilization of the egg until birth.
During pregnancy, the uterine size increases. When the woman is not pregnant, the uterus is small (ten centimeters long).
The narrower lower part of the uterus that opens into the vagina, is the neck; tumors appearing on this part of the uterus are called cancer cervix.

Causes

It may appear in all age ranges from 25-30 years. It is not linked to hereditary factors but with infection by a virus of the family papillomavirus (HPV), sexually transmitted.
Cervical cancer of the uterus, like other cancers, is not contagious. But HPV, he is. This is an extremely common virus that can cause precancerous lesions (called dysplasia or genital warts), the severity increases with time and that, if left untreated, may sometimes degenerate and form a cancer.
Conversely, non-HPV-infected women have no risk of developing cervical cancer.

Cancer des ovaires

Composés de différents tissus, les ovaires sont des glandes génitales féminines situés de chaque côté de l’utérus auquel ils sont reliés par les trompes de Fallope.

Ils ont deux fonctions : produire des ovules et sécréter des hormones sexuelles (estrogènes et progestérone).

Causes

Il existe plusieurs facteurs de risque du cancer des ovaires :

L’âge.
L’âge est le principal facteur de risque, en effet le risque de développer un cancer de l’ovaire augmente régulièrement avec l’âge.

Les facteurs familiaux.
Les cancers familiaux ne représenteraient que 5 à 10% des cas. Les gènes actuellement identifiés pour leur implication dans la prédisposition au cancer de l’ovaire sont les mêmes que ceux du cancer du sein ; le gène BRCA 1 et plus rarement le gène BRCA 2.

Aussi, lorsqu’il existe plusieurs cas de cancers de l’ovaire ou du sein dans une même famille, une consultation d’oncogénétique doit être envisagée.

Les facteurs hormonaux.
Des études montrent que le risque pourrait être plus élevé chez les femmes qui présentent des troubles du fonctionnement ovarien comme la stérilité. L’utilisation des traitements de la ménopause ne semble pas avoir d’influence importante sur le risque de cancer de l’ovaire.

Compounds of different tissues, the ovaries of female genital glands on each side of the uterus to which they are connected by the fallopian tubes.

They have two functions: producing eggs and secrete sex hormones (estrogen and progesterone).

Causes

There are several risk factors for ovarian cancer:

Age.
Age is the main risk factor, indeed the risk of developing ovarian cancer increases steadily with age.

Family factors.
The familial cancers account for only 5-10% of cases. Currently identified genes for involvement in susceptibility to ovarian cancer are the same as those of the breast cancer; BRCA 1 and BRCA 2 rarely.

Also, when there are several cases of ovarian or breast cancer in the same family, a cancer genetics of consultation should be considered.

Hormonal factors.
Studies show that the risk may be higher in women with ovarian function disorders such as infertility. The use of treatments for menopause does not appear to have a significant influence on the risk of ovarian cancer.

Cancer de la prostate

La prostate est une glande génitale masculine de la taille d’une châtaigne située juste au-dessous de la vessie. Elle est traversée par l’urètre, le canal qui permet l’évacuation des urines et du sperme.
De la taille d’une châtaigne, la prostate peut augmenter de volume. On appelle ce phénomène l’hyperplasie bénigne de la prostate (ou HBP).
C’est une cause courante d’apparition de troubles urinaires. Tout symptôme de ce type n’est donc pas systématiquement en rapport avec un cancer de la prostate.

Causes

Certains facteurs semblent augmenter le risque de développer un cancer de la prostate.

Hérédité :
Les formes héréditaires (au moins trois cas chez les apparentés au premier degré) ne représentent que 5 à 10 % des cancers de la prostate. Le risque est clairement plus élevé chez les hommes dont la famille est touchée par le cancer de la prostate.

Comportement alimentaire :
Une consommation excessive de graisses animales, notamment celles des viandes rouges, serait susceptible d’augmenter l’incidence de la maladie.

L’âge avancé :
95 % des cas surviennent après 57 ans. Chez des hommes de 90 ans, on estime qu’il existe 30 % de cancers de la prostate occultes et qui ne seront pas la cause du décès.

The prostate gland is a male genital of the size of a chestnut located just below the bladder. It is crossed by the urethra, the tube that discharges urine and semen.
About the size of a chestnut, the prostate volume may increase. This is called benign prostatic hyperplasia (BPH).
This is a common cause of occurrence of urinary disorders. Any symptoms of this type is not systematically related to prostate cancer.

Causes

Certain factors seem to increase the risk of developing prostate cancer.

Heredity :
Hereditary forms (at least three cases among first-degree relatives) only account for 5-10% of prostate cancers. The risk is clearly higher among men whose families are affected by prostate cancer.

Feeding habits:
Excessive consumption of animal fats, including red meat, would be likely to increase the incidence of the disease.

Advanced age:
95% of cases occur after 57 years. In men 90 years, it is estimated that there are 30% of occult prostate cancer and which will not be the cause of death.

Cancer du col de l’uterus

Les cancers de l’utérus débutent presque toujours au niveau de l’endomètre. C’est pourquoi on parle le plus souvent de “cancers de l’endomètre”. Il en existe plusieurs types, mais le carcinome est de loin le plus fréquent.

Tant qu’ils restent localisés (pas d’extension de la tumeur vers d’autres organes), ces cancers sont de bon pronostic. D’après l’étude Eurocare 4 rendue officielle en 2009, l’espérance de vie à 5 ans des patientes ayant eu un cancer de l’endomètre est de 73%.

Causes

Le cancer de l’endomètre survient généralement après la ménopause, chez des femmes âgées de 55 à 70 ans. Les facteurs de risque sont nombreux : l’âge, l’obésité, le diabète, l’hypertension, le fait de ne pas avoir eu d’enfants, la ménopause tardive… Le cancer de l’endomètre peut parfois être lié à des facteurs héréditaires. Il est alors associé dans les familles à un risque élevé de cancer du côlon et plus rarement de l’ovaire.

Certains traitements peuvent exposer au risque de cancer de l’utérus. C’est en particulier le cas des traitements hormonaux mal conduits ou des traitements affectant le fonctionnement des hormones féminines œstrogènes. C’est la raison pour laquelle une surveillance gynécologique attentive est nécessaire lorsqu’on a reçu un traitement aux anti-œstrogènes dans le cadre de la prise en charge d’un cancer du sein.

Uterine cancers almost always begin at the endometrium. This is why most often is called « endometrial cancers. » There are several types, but the carcinoma is by far the most common.

As long as they remain localized (no spread of the tumor to other organs), these cancers have a good prognosis. According to Eurocare 4 study made official in 2009, life expectancy at 5 years for patients who had endometrial cancer is 73%.

Causes

Endometrial cancer usually occurs after menopause in women aged 55 to 70 years. The risk factors are numerous: age, obesity, diabetes, hypertension, the fact of not having had children, late menopause … Endometrial cancer can sometimes be associated with hereditary factors. It is then associated in families at high risk of colon cancer, and more rarely the ovary.

Some treatments can expose to the risk of uterine cancer. This is particularly the case of hormonal treatments or treatments behaved badly affecting the functioning of the female hormone estrogen. This is why a gynecological careful monitoring is required when received treatment with antiestrogens under the management of breast cancer.

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